lunes, 25 de marzo de 2024

Le bricoleur

 

Le bricoleur


Pendant les rar's moments de pause,
Où il n' répar' pas quelque chose,
Il cherch' le coin disponible où
L'on peut encor planter un clou (boîte à outils). {2x}
Le clou qu'il enfonce à la place
Du clou d'hier, il le remplace-
Ra demain par un clou meilleur,
Le même qu'avant-hier d'ailleurs.

(Refrain)

Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D'avoir un mari qui bricole
Mon Dieu, quel bonheur !
Mon Dieu, quel bonheur
D'avoir un mari bricoleur
{Boîte à outils} {2x}

Au cours d'une de mes grossesses,
Devant lui je pestais sans cesse
Contre l'incroyable cherté
D'une layette de bébé. {boîte à outils} {2x}
Mais lorsque l'enfant vint au monde,
J' vis avec une joie profonde
Qu' mon mari s'était débrouillé
Pour me le fair' tout habillé.

(Refrain)

A l'heure actuelle, il fabrique
Un nouveau système électrique,
Qui va permettre à l'homme, enfin,
De fair' de l'eau avec du vin. {Boîte à outils} {2x}
Mais dans ses calculs il se trompe,
Et quand on veut boire à la pompe,
Il nous arriv' d'ingurgiter
Un grand verre d'électricité.

(Refrain)

Comme il redout' que des canailles
Convoit'nt ses rabots, ses tenailles,
En se couchant, il les installe
Au milieu du lit conjugal. {Boîte à outils} {2x}
Et souvent, la nuit, je m'éveille,
En rêvant aux monts et merveilles
Qu'annonce un frôlement coquin,
Mais ce n'est qu'un vilebrequin !

Mon Dieu, quel malheur,
Mon Dieu, quel malheur
D'avoir un mari qui bricole !
Mon Dieu, quel malheur,
Mon Dieu, quel malheur
D'avoir un mari bricoleur !


El manitas


Durante los raros momentos de descanso,
En los que no está reparando algo,
Busca el rincón disponible donde
Se pueda clavar aún un clavo (caja de herramientas)
El clavo que clava en el lugar
Del clavo de ayer, lo reemplazará
Mañana por un clavo mejor,
Lo mismo que anteayer, por otro lado.

(Estribillo)

Dios mío, ¡qué felicidad!
Dios mío, ¡qué felicidad,
Tener un marido manitas!
Dios mío, ¡qué felicidad!
Dios mío, ¡qué felicidad
Tener un marido manitas!
Caja de herramientas.

En el curso de uno de mis embarazos,
Delante de él yo echaba pestes sin parar
Contra la increíble carestía
De una canastilla de bebé.
Pero cuando el niño vino al mundo,
Comprobé con una profunda alegría
Que mi marido se las había apañado
Para hacérmelo ya vestido.

(Estribillo)

En estos momentos, está fabricando
Un nuevo sistema eléctrico,
Que va a permitir a los hombres, por fin,
De hacer agua usando vino.
Pero se equivoca en sus cálculos,
Y cuando queremos beber de la máquina
Ocurre que nos tragamos
Un gran vaso de electricidad.

(Estribillo)

Como teme que algunos canallas
Deseen sus cepillos, sus tenazas,
Al acostarse, las coloca
En medio del lecho conyugal.
Y a menudo, por la noche, me despierto,
Soñando con las maravillas
Que anuncian un roce picarón,
¡Pero no es más que un berbiquí!

Dios mío, ¡qué desgracia!
Dios mío, ¡qué desgracia,
Tener un marido manitas!
Dios mío, ¡qué desgracia!
Dios mío, ¡qué desgracia
Tener un marido manitas!